Fin janvier, le monde a passé le cap des cent millions de personnes contaminées par le SARS COV2 et des deux millions de décès depuis le début de la pandémie. Depuis, le virus continue de parcourir la planète en infectant de plus en plus de personnes tandis que d’inquiétantes mutations se multiplient. La communauté internationale est confrontée à l’un des plus grands défis sanitaires jamais connus.
Pour réussir, les efforts doivent être massifs, globaux et immédiats. Hélas, les réponses apportées sont encore bien insuffisantes et de nombreuses opportunités d’agir ne sont pas saisies. COVAX, l’instrument mis en place par l’OMS pour distribuer équitablement les vaccins, est aujourd’hui empêché, faute de moyens, de lancer correctement ses campagnes de vaccination. Malgré les annonces récentes de l’OMS sur le déploiement de COVAX, les doses à destination de 145 pays et les financements pour déployer la vaccination dans ces pays, sont bien en dessous des besoins. Cette situation n’est pas acceptable. Il faut vacciner au plus vite l’ensemble de la population mondiale et cibler en priorité le personnel soignant en première ligne dans des Etats manquant de personnels de santé et de moyens.
Plus que jamais, cette pandémie nous rappelle à quel point la santé est un bien commun à toutes et tous. Elle nous met au défi, acteurs et actrices de la santé, de répondre sans oublier personne.
La France et l’Union européenne se sont engagées très tôt dans la mobilisation d’une force internationale pour développer et rendre accessibles les produits COVID19. De fait, l’Union européenne et le gouvernement français peuvent et doivent jouer un rôle crucial dans la lutte contre la pandémie à l’échelle mondiale, auprès des populations les plus vulnérables.
Nos organisations appellent ainsi notamment la France à fournir un effort exceptionnel pour prendre sa juste part dans le combat et pour ce faire, de :
Il est urgent d’agir, de briser les égoïsmes nationaux face à une pandémie sans frontières.
Pour réussir, les efforts doivent être massifs, globaux et immédiats. Hélas, les réponses apportées sont encore bien insuffisantes et de nombreuses opportunités d’agir ne sont pas saisies. COVAX, l’instrument mis en place par l’OMS pour distribuer équitablement les vaccins, est aujourd’hui empêché, faute de moyens, de lancer correctement ses campagnes de vaccination. Malgré les annonces récentes de l’OMS sur le déploiement de COVAX, les doses à destination de 145 pays et les financements pour déployer la vaccination dans ces pays, sont bien en dessous des besoins. Cette situation n’est pas acceptable. Il faut vacciner au plus vite l’ensemble de la population mondiale et cibler en priorité le personnel soignant en première ligne dans des Etats manquant de personnels de santé et de moyens.
Plus que jamais, cette pandémie nous rappelle à quel point la santé est un bien commun à toutes et tous. Elle nous met au défi, acteurs et actrices de la santé, de répondre sans oublier personne.
La France et l’Union européenne se sont engagées très tôt dans la mobilisation d’une force internationale pour développer et rendre accessibles les produits COVID19. De fait, l’Union européenne et le gouvernement français peuvent et doivent jouer un rôle crucial dans la lutte contre la pandémie à l’échelle mondiale, auprès des populations les plus vulnérables.
Nos organisations appellent ainsi notamment la France à fournir un effort exceptionnel pour prendre sa juste part dans le combat et pour ce faire, de :
- Débloquer une aide financière à la hauteur des besoins
- Rendre la distribution des vaccins plus équitable en faisant don de doses achetées par la France
- Défendre la collaboration scientifique et le partage des connaissances
- Mobiliser et soutenir tous les acteurs et actrices pour mettre en place ces activités
Il est urgent d’agir, de briser les égoïsmes nationaux face à une pandémie sans frontières.